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Pourquoi ?

Parce que trop souvent encore, la mort est reléguée aux oubliettes de nos conversations, ou cachée à l'hôpital ou dans les EMS.

On évite de la nommer pour ne pas blesser ses proches, comme si c'était une maladie contagieuse qu'on risque d'attraper illico.

Car la mort reste un tabou pour beaucoup d'entre nous.

Pourtant, on l'affiche sans vergogne soir après soir au téléjournal, rassuré·e·s par la soi-disant protection de nos écrans.

Pour qui ?

Pour vous touxtes qui avez perdu un être cher, un parent proche ou éloigné, un enfant, un·e ami·e, un ou une collègue, un·e voisin·e, un animal.

Que sa mort vienne d'arriver ou qu'elle soit plus ancienne.

Que ce deuil soit serein ou tourmenté.

Comment ?

Pendant une heure et demie, autour d'une tasse de thé ou de café, on parle si on en éprouve le besoin, on écoute avec attention, on rit, on s'émeut, on se soutient... LA VIE EN FAIT.

Quand et où ?

Notre prochaine rencontre, le jeudi 11 avril de 17h30 à 19h, à l'Horme,

av. d'Echallens 30, 1004 Lausanne. Voir notre flyer ci-dessous.



Depuis quelques mois, nous répondons à des questions qu'on nous pose parfois sur l'accompagnement spirituel. Nous avons décidé d'y répondre entre autre au travers de conversations audio que vous pouvez retrouver ICI.

Les thèmes que nous avons abordés jusqu'ici sont :

  • quelle est la durée d'une séance d'accompagnement

  • qu'est-ce que le "Tiers" en accompagnement spirituel ?

  • l'écoute

Ce sont des capsules audio d'env. 5 min.

Si vous aimeriez que nous abordions un sujet qui vous intéresse, n'hésitez pas à nous envoyer vos questions ou vos suggestions au travers de notre formulaire de contact.

Et si le cœur vous en dit, laissez-nous un commentaire.

Nous nous réjouissons de vous lire !




  • Photo du rédacteurCorinne

Dernière mise à jour : 13 déc. 2022

Etre présent·e·s tout un week-end au salon du mariage, c'est une expérience sociologique intéressante.

Je m'explique : en regardant le public présent (majoritairement des personnes entre 25 et 35 ans, blancs et hétéros), on sent encore peu de changements significatifs dans la conception idéalisée du couple.

Dans son immense majorité, ce sont les femmes qui mènent la danse, avec le programme dans les mains et la to-do list du jour à finaliser avant de quitter le salon. Il faut pouvoir prendre un maximum d'informations et peut-être de bonnes idées pour le jour J. Les futurs mariés quant à eux se contentent souvent de porter le sac rempli de brochures glanés sur les stands visités et ils suivent tant bien que mal le rythme effréné imposé par leurs compagnes.

Cela m'interpelle quelque peu ce grand marché du mariage où finalement on vient pour consommer et assez peu (mais c'est peut-être une idée fausse de ma part) pour s'intéresser, s'interroger sur le sens d'une vie à deux.

Avec Jean-Michel, c'est ce qu'on essaie de proposer en tant que célébrant·e·s. Prendre ce temps suspendu entre la décision de se marier et le jour du mariage, pour réfléchir sincèrement à cet engagement vertigineux qu'est une vie à deux. Pour affronter avec courage et conviction l'usure du quotidien, les joies et les peines, avec effusion mais sans fusion...

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